ES ERIK SATIE from Eliografia – Alberto Bortignon
Non classé
David Montague : Fin
Ecoutez d’abord :
N’est-ce pas charmant? Semble un peu flou? Dommage pour ça. Moments difficiles : Mes ressources économiques sont très limitées et du fait que la plupart de mes instruments (dont un violoncelle) ont été tragiquement volés avec mon matériel vidéo non primitif… Je devais jouer sur quelque chose. Et tout ce que j’avais était un violon. Maudits! Mais Satie avait des ressources économiques très limitées, et cela ne l’a jamais empêché d’explorer bravement le grand inconnu musical.
Solution sensée : se promener avec un marteau dans la poche … encore une fois, tout comme M. Satie, il est à la fois une source d’inspiration pratique et artistique!
Ok, c’est assez de ça. Il est temps d’être clément et d’arrêter de cracher ce français mal rédigé (encore une fois, pardon!) Mais j’espère que les gens apprécieront mes œuvres bien intentionnées de violon, de flûte, d’art et de science-fiction steam-punk. En tout état de cause, il s’agissait d’un petit essai plutôt cathartique.
Suite :
Poésie : Hommage à Erik Satie
Arcueil ! Arcueil !
Sur un ordre de la mairie
On a repeint le ciel à neuf
Et le vieil aqueduc accueille
De folâtres holothuries.
Voilà si longtemps qu’il est veuf
De la défunte aqueduchesse
Que ses larmes sont sèches
Et archisèches.
D’avoir dansé sous ses arceaux
Le brelan des Gymnopédies,
Plusieurs jeunes filles de Sceaux
En sont encore tout étourdies.
Elles s’évanouissent dans les patronages
Et interrompent, c’est dommage,
Ce morceau en forme d’hommage.
René Chalupt (1885-1957)
La maison d’Erik Satie en 1925
La maison d’Arcueil, dite « Aux 4 cheminées », où logeait Erik Satie
Photos prises par Brancusi entre juillet 1925 et octobre 1925, accompagné de Robert Caby, après la mort de Satie (1er juillet 1925).
La chambre (rêvée) d’Erik Satie … Suite
La chambre (rêvée) d’Erik Satie. Un peu plus de 1000 heures de travail, un peu plus de 300 heures de réflexion pour la mise en scène, des plans, des contacts (fructueux et infructueux), quelques angoisses… et une joie réelle que la boîte ait plu à l’arrivée. Vive Satie ! Et bientôt…
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Et à suivre sur le site:
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Le boîtographe