Dans l’ouvrage fort intéressant de Jeanne Champion « Suzanne Valadon ou la recherche de la vérité » on peut lire un passage sur la fin de la relation tumultueuse Satie-Valadon : Un après-midi où Suzanne, après avoir rendu visite à Degas, est montée chez Satie, le musicien tourmenté par un mauvais pressentiment lui à barré le passage : Ne pars pas : Valadon s’est fachée : – Laisse-moi passer… je suis déjà en retard !