Cabaret Gymnopédique à Auxerre

 

Que se cache-t-il dans le drôle de piano d’Erik Satie ?

Dans un format cabaret, 3 artistes (Florie Dufour, Jean-Christophe Cornier et Jean-Marie Gérintes) nous présentent l’univers d’Erik Satie, ses mélodies célèbres, mais aussi ses textes beaucoup moins connus.

Dans ce spectacle mêlant mots et musique, « l’esprit Satie » se révèle : inconguïté, vérités désabusées, dadaïsme et humour !

Des arrangement musicaux originaux, une direction d’acteurs sur-mesure en font un spectacle unique à découvrir !

Vendredi 9 février 2018 - 20h30
 Auditorium du Conservatoire de Musique d'Auxerre
 7 Rue de l'Île aux Plaisirs, 89000 Auxerre
 Réservations : 07.82.51.17.78

Tarif : 15 € (sans mot de passe)
ou 10 € en prononçant, avant de payer, le mot de passe : « Que préférez-vous, la musique ou la charcuterie ? »
(dans la limite des places disponibles)

 

 

Cabaret Gymnopédique à Orléans

Que se cache-t-il dans le drôle de piano d’Erik Satie ?

Dans un format cabaret, 3 artistes (Florie Dufour, Jean-Christophe Cornier et Jean-Marie Gérintes) nous présentent l’univers d’Erik Satie, ses mélodies célèbres, mais aussi ses textes beaucoup moins connus.

Dans ce spectacle mêlant mots et musique, « l’esprit Satie » se révèle : inconguïté, vérités désabusées, dadaïsme et humour !

Des arrangement musicaux originaux, une direction d’acteurs sur-mesure en font un spectacle unique à découvrir !

Samedi 3 février 2018 à 20h30

Maison des Arts et de la Musique

Cours Victor Hugo

 45000 Orléans

Tarifs : 15€ – réduit 10€
Réservations : 07 82 51 17 78 ou compagnie@matulu.fr

 

Satie « le coeur » à barbe à l’hôpital Bretonneau

Lecture-spectacle intitulé  » Le cœur à barbe  »
Restitutions des ateliers de médiation culturelle (Éveil musical, danse et paroles).

Harpe : Claire Duchateau-Malzac
Danse : Luisella Avvinti-Chafik
Lecteur : Philippe Bertin

Nous vous donnons rendez-vous le :

vendredi 28 juillet à 15 h à la salle de spectacle de l’hôpital Bretonneau
23 rue Joseph-de-Maistre – 75018 Paris

Gratuit

Avec la participation des résidents : Huguette, Josiane, Lucette, Etienne, Louis, Etienne, Pierre, Andrée, Liliane, Marie-Jeanne et Jacqueline. La bienveillance des animatrices : Stéphanie et Rose-Mary et d’Evelyne Menaud, référente culturelle.

CONTACT
Philippe BERTIN
06 69 77 75 68
http://sh1.sendinblue.com/ngv3xhk94c.html?t=1500617451

Pèlerinage Erik Satie

 

La nouvelle Eglise métropolitaine d’art de Jésus Conducteur présente :

Le 1er Pèlerinage Erik Satie !

Dans la plus pure tradition du Chat Noir, venez jouer, chanter, déclamer du Erik Satie tout le long du chemin de 3 heures que Satie avait l’habitude de prendre tous les soirs de Montmartre pour rentrer chez lui à Arcueil !

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Théâtre : Erik Satie ou l’inconnu d’Arcueil

Quand on évoque ce compositeur, la plupart des gens vous citent les Gymnopédies, les faux cols, les parapluies, et sa « dinguerie » fantaisiste.
En fait, Satie a été le précurseur de la plupart des grands courants artistiques du 20e siècle : de l’impressionnisme au néo-classicisme, en passant par le dadaïsme, la musique atonale, le minimalisme et le théâtre de l’absurde. Il a initié ces mouvements sans avoir jamais adhéré à aucun d’entre eux.
Cet humble orgueilleux, a toujours pris soin de brouiller les pistes. Sa pudeur et son hypersensibilité l’ont amené à se créer un personnage, à s’entourer de mystère, et à se choisir, au milieu des humbles, une retraite dont il refusait l’accès à qui que ce soit. soucieux de ne jamais se répéter, il a obstinément cherché à débarrasser sa musique de tous les stéréotypes en vogue. Toujours plus de simplicité, telle fut sa quête, inlassablement.
Son honnêteté et son intransigeance lui firent dédaigner l’amour, l’argent et tous les compromis. Et s’il est dur d’être incompris de son vivant, la postérité lui a donné, et lui donnera, raison. c’est cette justice que nous voulons lui rendre.
Et, plus qu’une évocation biographique, notre création s’attache à restituer l’esprit du « pauvre musicien d’Arcueil », le style si particulier de ses écrits et son humour qui, chez lui, est vraiment la politesse du désespoir.
Erik Satie avait écrit : « le baron Méduse, c’est mon portrait, mon portrait en pied ». Notre pièce se voudrait, en hommage au « gymnopédiste », une peinture anarchique en trois dimensions, un hologramme cubiste de ce pré-dadaïste, dont on ne cessera jamais de pouvoir faire le tour. Et c’est tant mieux !
Jean O’Cottrell

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